Groupe de travail du 11 février 2022
Le Snasub-Fsu a dénoncé le fait que cette revalorisation écartait les catégories C, les ATRF labo, les ITRF, les contractuels ….
Nous avons demandé à notre administration académique qu’elle interpelle le ministère pour le rattrapage Indemnitaire de toutes les catégories oubliées. La revalorisation doit être pour toutes et tous.
La proposition du rectorat est de prendre la revalorisation forfaitaire du ministère augmentée en moyenne de 400 euros annuels.
Ce serait donc une augmentation allant de 1200 à 2000 € bruts annuels environ, de l’IFSE. La mise en paiement serait sur la paye de mars avec effet rétroactif au 01/01/2022.
Le rectorat a pris en compte certaines de nos revendications antérieures sur la réévaluation de quelques catégories. Mais d’autres ont été «oubliées». Nous sommes donc revenu dessus.
Il s’agit entre autre :
-de tous les collègues exerçant sur un poste de catégorie supérieure à la leur et qui n’ont pas été automatiquement revalorisés à hauteur
-Des agents comptables qui ont vu leur indemnitaire revenir proche du niveau des gestionnaires, sans prendre en compte la revalorisation de septembre 2019, liées aux missions auprès des CE des établissements rattachés, et qui de fait, à été effacée.
-De collègues en EPLE et Services sur des missions particulières. Ils avaient une IFSE individualisée liée à des missions particulières supplémentaires. Ce qui n’a pas été répercuté lors de la revalorisation.
Des secrétaires d’IEN qui, de part l’importante charge et technicité des missions auprès du chef de service sur des bassins conséquents, doivent être mieux considérées dans le groupe 2. Nous demandons la fusion des deux sous catégories en une seule, la plus favorable, qui correspond aux réalités de terrain.
-Des gestionnaires non logés considérés comme logé. La dérogation a été validée par le chef d’établissement et le DASEN. Elle tient compte de critères qui vérifient l’intérêt du service et de l’agent. Il n’y a donc pas lieu d’en sanctionner certain.e.s. sur des critères subjectifs. Nous demandons une simplification quand la dérogation est acceptée, avec un traitement ajusté.
Nous verrons lundi 14 février, lors du CTA, si nos revendications ont été prises en considération par notre administration.